Clarifions enfin les chose entre nous [Pv Vahn][Yaoi]

Quand je reçu cette lettre mon cœur s'arrêta. Cette écriture de dessinateur, belle et manuscrite, ne me fit douter du destinataire, c’était Vhan. Vhan, ce bel et séduisant garçon qui se trouvait être son colocataire. C’était un simple carré blanc avec des dorures sur le côté et un message laconique : viens samedi à 18h30, bâtiment 1, salle des CE1. Nous devons éclaircir les choses.

Ces simples mots me terrorisaient. Eclaircir les choses…18h, il est l’heure d’y aller. Je passais une tunique de mousseline bleu. Un décolleté exhibait mon torse. Mes cheveux coiffé et parfumé flottaient aux vents délivrant une fragrance sucrée attirant vers moi des jeunes femmes en chaleur. Elles m’entourèrent, me flattèrent, touchant mes cheveux, épiant chacun de mes gens. J’étais cerné. Je regardai l’heure. Mon dieu ! Je vais être en retard. Je me libérai et filai grâce à mon agilité naturelle, vers le point de rendez-vous. La salle se trouvait au deuxième étage. Je montai et trouvai rapidement la salle. Arrivé vers 9 ans, je n’étais pas allé en CE1 ici mais avais suivi des cours pour rattraper mon retard. La salle était encore vide. Je caressai le bois des bureaux et m’assis sur une table attendant Vhan.

Je m'étais réveillé perplexe. Je ne savais plus très bien ce qu'il se passait avec Nash. Mes dessins m'avaient confirmé qu'il cs'était passé quelque chose entre lui et moi. En résumé j'étais perdu. Déconcentré pendant les cours, je décida donc d'éclaircir certains points. Je lui laissa un mot, redoutant ledit rendez-vous.
Samedi, 18H04. Mince j'étais en retard pour le RDV que j'avais fixé. Je griffonna à la va-vite quelques golems pour surveiller les couloirs. J'ouvris la porte avec mes mains moites et pénétra doucement dans la classe vide.

-...Euh salut, dis-je timidement. Je suis content que tu sois venu. Il faut que l'on parle de se qu'il s'est passé dans ma chambre. Ce moment n'était pas anodin. Alors je te le demande : quelle est la suite ?

J'attendis, fébrile, qu'il ouvre la bouche. Cette bouche si pulpeuse... Je m'étais efforcé de ne pas regarder son corps magnifique.

Je l'attendais regardant par la fenêtre, assis sur un bureau. J'entendis la porte s'ouvrir. Je me retournai et le vit. Beau comme toujours. Je dissimulai mon rougissement. Il semblait épuisé. Je regardai l'heure. Il avait du retard mais à le voir, l'idée de m'énerver s'envola. je ne pouvait rien lui refuser. Je lui lançais un sourire amical et amoureux.

-...Euh salut, dis-il timidement. Je suis content que tu sois venu. Il faut que l'on parle de se qu'il s'est passé dans ma chambre. Ce moment n'était pas anodin. Alors je te le demande : quelle est la suite ?

- Sa-salut... bégaye-je.

La suite ? La suite à ce qu'il s'était passé ce soir ? Je rougis. Peut-être n’était il pas dans son état normal et il me détestai maintenant ! Je le regardai. je ne pouvais soutenir son beau regard. Il me transperçai de mille lances. Je baissai le regard. Mon coeur s'emballa, battant plus vite qu'à l'accoutumé. Quel est cette sensation ? De la peur ? Ou ce sentiment qui m'avait été interdit : L'amour ? Je pense que c'est ça...je décidai de prendre mon courage à deux mains.

- Je veux que l'on continue comme l'autre soir...marmonnai-je si bas qu'il ne pouvais entendre.

Je rougis encore plus. Il faut que j'ose, que je dise enfin ce que je pense, ce que mon coeur cri. Ce désir de le voir, de le sentir près de moi, de le toucher, entendre sa voix, goûter ses lèvres, pouvoir l'aimer. Mais peut être ne ressentait-il pas ça ? Peut être ne m'aimait-il pas ? Me voilà coincé dans cette toile infernale que sont mes sentiments. Je levai la tête, fier.

- Je t'aime ! Je veux que l'ont continu ! Peut-être que tu ne ressens pas ça et j'en serais triste mais je t'aime ! Ton regard me trouble et ta voix me semble musique. je veux toujours être avec toi, près de toi ! je ne supporte plus ton absence.

Mon visage s'empourpra d'avoir ainsi sortit tout ce que mon coeur hurlai et que mon esprit refoulait.

- Je t'aime ! Je veux que l'ont continu ! Peut-être que tu ne ressens pas ça et j'en serais triste mais je t'aime ! Ton regard me trouble et ta voix me semble musique. je veux toujours être avec toi, près de toi ! je ne supporte plus ton absence.

à peine avait-il fini, que je lui sauter déjà dessus. La table grinça sous notre poids mas ne céda pas. Mes yeux pétillaient d'envie. Un sourire de satisfaction illuminait mon visage. Je lui susurra à l'oreille.

-Moi aussi je t'aime. C'est assez étrange pour moi mais c'est un fait. Alors détend-toi et profite...

J'arracha le haut de mon amant. Son torse était magnifique. Je l'embrassa longuement tout en caressant sa peau tu bout des doigts.

Dès que j'eue fini, il me sauta dessus. Ses yeux plein d'envie et de désir, un sourire qui annonçais ce qu'il prévoyait pour moi illumina son regard. Il approcha sa bouche de mon oreille et murmura sensuellement.

-Moi aussi je t'aime. C'est assez étrange pour moi mais c'est un fait. Alors détend-toi et profite..

Il arracha tout à coup le haut de ma tunique. Ses lèvres sucrée s'écrasèrent sur les miennes, avides. Il caressait mon torse nu, aimant. Plein de délicatesse je détachaient un à un les bouton de sa chemise. J'en voulais plus, toujours plus. Je descendis ma bouche et lui embrassai le cou, caressant son dos nu.

- Tu es magnifique...

Nous nous déshabillions mutuellement. C'était .. magique. Seulement, mon dragon tatoué ne l'entendait pas de cette oreille. Partout où Nash posait ses mains, il s'écartait, m'arrachant quelques chatouilles au passage. De tout mes dessins, c'était lui le plus puissant, puisque situé à même mon corps. Il me recouvrait quasiment out le corps. Peu de gens l'avait vu. Je reporta mon attention sur Nash. Il me faisait littéralement mourir d'envie. Ses lèvres faisaient exploser mes sens. Je finis de lui enlever le reste de ses vêtements. Il était aussi beau qu'un dieu. Et je l'avais pour moi, rien que pour moi. Il était bien bâti et ... bien monté pour mon grand plaisir. J'entrepris de descendre au niveau inférieur. Cette fois ce serait moi qui lui ferait plaisir. Je saisis son membre durci par l’excitation et lui lécha affectueusement.

Il me déshabilla et je le déshabillai. Je tremblai aux touché de ses mains. Je les avais tant souhaité, tant adoré, tant espéré. Me voilà récompensé. Un tatouage de dragon sur son corps évitait mes mains comme une maîtresse dansant et s’esquivant. Je le détaillais. Il était de belle facture et encerclait magnifiquement le corps de mon amant tel un écrit autour d'une pierre précieuse. Ce sentiment de bien être en sentant ses caresses m'effleurer. Ses yeux plein d'envie me faisait craquer. Un fil me maintenait à la limite et cette envie de lui sauter dessus et de lui faire furieusement l'amour. Je rougit en sentant mon pénis excité et lui s'agenouillant devant, le caressant de ses lèvres et de sa langue. Je ne pu contenir un gémissement de plaisir. Cette sensation qui faisait perdre prise, me désarçonnai. Ne contrôlant plus mon désir, je le plaquai au sol, mes yeux plein d'un désir brûlant sur le point de me consumer et allant être assouvit. Je collais mes lèvres contre sa peau d’albâtre laissant des ronds rouge sur la peau de son cou et de son torse.

à présent, c'était moi qui était la proie au désir ardent qui flottait dans l'air. Très bien. Cette fois-ci je lui laissais les commandes. Ses caresses faisait pulsait le sang dans mon sexe, le rendant aussi dur que du béton. Je lui caressa le dos. Les nombreuses cicatrices me firent frémir. J'imaginais très bien les épreuves qu'il avait du subir. Je resserra mon emprise. Je pus articuler dans un souffle.

-Fais-moi du bien... Je t'aime tellement...

Je le sentais tremblant contre moi. Sa pulsation sous mes doigts se faisait plus rapide. Il me caressai le dos, avide et plein de désir. Je le fixai. Il était magnifique. je ne sais ce que c'est mais je le trouvait alors encore plus beau. Dans toute sa puissance. Il m'attira pou coller son corps contre le mien. Nos peaux nu s'effleurant et se caressant.

-Fais-moi du bien... Je t'aime tellement...souffla t-il.

Je le fit mettre à genoux et lécha mes doigts pour lui mettre dans l'anus. Je lui caressai tendrement les hanches de mon autre main avant d'attraper son engin et de le branler. Je mis le mien à l'endroit où se trouvait mes doigts quelques seconde plus tôt avant de commencer un mouvement de plus en plus rapide de va et viens. Le désir m'envahit. J'aurais voulu lui sauter dessus comme un simple animal et lancer mon engin le plus fort, le plus vite jusqu'à le faire saigner mais je réprimai mes envies pour être plus tendre avec lui.

- Je serai doux...Dis moi si tu as mal, dis-je en attrapant sa hanche pour le tirer vers moi. Je suis en toi...

Aïe. Nous étions arrivé au moment le moins agréable... Mais mon amour pour lui atténua la douleur et bientôt, elle fut remplacée par des vibrations de plaisir. J'avais aprris en cours de biologie que c'était la protate qui était responsable de l'excitation sexuelle chez les hommes... Cela se révélait assez exacte.

- Je serai doux...Dis moi si tu as mal, dit-il en m'attrapant la hanche pour me tirer vers lui. Je suis en toi...

Je brûlais d'envie de lui dire "ça je le sens bien que tu es en moi" mais je me contins. Je donna simplement libre cour à ces sensations nouvelles. Cela faisait un peu mal, mais au-delà, je prenais un plaisir fou. Je ne pus m'empêcher de gémir. La force de ses caresses me firent éjaculer.

-J...Jouis en moi, lui suppliais-je. C'est tellement bon !

Je sentais son corps se tendre à cause de la douleur avant de se remplacer par des vibrations de plaisir. Je tremblai de plaisir et de bien être, y allant de plus en plus violemment. Je sentis ma main gauche devenir visqueuse enduite d'une muqueuse blanche. Il gémissait de plus en plus puissamment. Cela pour une raison inexpliqué, me donnait encore plus de plaisir.

-J...Jouis en moi, lui suppliait-il. C'est tellement bon !

J'était à la limite. Je ne tenais plus. Je faisais de mon mieux pour me retenir cherchant à prolonger le désir mais je me sentis perdre à cause de sa phrase tremblante de plaisir. je m'abandonna et déversa ce liquide blanc en lui. Je retirai mon engin regardant le sperme sortir de lui. Je me tournai vers lui et le pris dans mes bras pour le consoler de cette douleur que je venais de lui faire subir.

- Tu es mignon comme ça...

Il se déversa en moi pour mon grand plaisir. C'était une sensation très étrange. Je sentais le liquide visqueux coulait mais ça ne me dérangeais pas. J'étais encore agité de quelques soubresauts de douleur. Il me prit dans ses bras.

- Tu es mignon comme ça...

Je le regarda dans les yeux. Il était tellement beau et si attentionné !

-... Et si on retournait dans notre chambre ? Je t'aime... mais je me sens un peu souillé...

Je commença à me rhabiller. Un de mes golem me prévint que quelqu'un arrivait.

Il me regardai, plein d'amour et je lui rendis ce beau regard.

-... Et si on retournait dans notre chambre ? Je t'aime... mais je me sens un peu souillé...

C'est vrai que l'on peut trouver mieux que de se retrouver tout trempé de sueur et de sperme. Mon dieu, la classe est sale ! Des trace de goutte de sueur. Un liquide blanc nous entourait et refaisait la décoration du sol (surtout autour de Vhan, mais en même temps, c'es lui qui a tout pris). Il commença à se rhabiller. J'aurais voulu l'aider à mettre ses beaux vêtement ou encore mieux le garder nu dans mes bras pour l'éternité. Je me rhabilla également avant de voir le golem de mon amant s'agiter. Il y a quelqu'un...

Là je commençais vraiment à paniquer. Si on nous trouver dans une salle de cours de CE1, la nuit et ayant eu des rapports que l'on fait généralement dans un lit... Puis une idée me vint. "Golem ? Combien de temps avons-nous ?". Deux minutes... C'était peu mais pas infaisable. Ayant rapidement pris les mesures de la salle, je fis un dessin quasi-parfait invoqua tout mon pouvoir, en espérant de toutes mes forces que cela allait fonctionner. Le surveillant ouvrait les portes une à une, et finit par ouvrir la notre. Mon coeur rata un battement et je faillis tomber dans les pommes quand il la referma. J'avais réussi à créer un mur illusoire. Je me retourna vers Nash.

-Je...Je crois qu'on ferait bien de nettoyer tout ça... Il ne faudrait pas avertir tout le monde de nos petites activités intimes n'est-ce pas ?

Je repéra un torchon qui traînait et récura le sol.

-Nash, remets-les tables et chaises s'il te plaît.

Nous finîmes de tout ranger et en 5 minutes, nous étions à l'abri dans notre chambre. Je me dirigeai dard-dard vers la salle de bain. Peut-être que Nash m'y rejoindrais...

Je snetis l'énergie magique circuler et vibrer. Il utilisa toute sa puissance pour crée une salle illusoire et cacher nos ébats. En plus d'être beau, il est fort...kyyyyaaa !!! Non, on se calme...Certes, il est beau à mourir, charmant, accédant à tout mes désirs, intelligent et puissant. Et on dit que la perfection n'existe pas ?! Le surveillant passa sans rien remarquer...Quel honte pour un professeur. Quand il fut partit je vis mon bel amant se détendre. Il se retourna vers moi.

-Je...Je crois qu'on ferait bien de nettoyer tout ça... Il ne faudrait pas avertir tout le monde de nos petites activités intimes n'est-ce pas ?

Je rougis. Il prit un torchon et nettoya les traces.

-Nash, remets-les tables et chaises s'il te plaît.

Je remis toute les tables et chaise finissant en même temps que Vhan. En 5 minutes, la salle était identique à celle avant notre arrivée. Je souris et retournai à notre chambre. Vhan se précipita dans sa salle de bain prendre une douche. Et si j'allais le rejoindre ? Je pénétrai dans sa chambre puis dans sa salle de bain. Il était dans la douche, nu et splendide. Je me déshabillai et profitai qu'il soit de dos pour entrer avant de l'enlacer.

- Je...je peux rester comme ça ? Si tu veux, je peux te frotter le dos...

Je ne voulais pas le lâcher...juste rester ainsi.

J'espérais sa venue et je fus grandement ravi qu'il ait entendu ma prière muette. Mes sens s'abreuvaient de nos deux corps collés l'un contre l'autre.

- Je...je peux rester comme ça ? Si tu veux, je peux te frotter le dos...
-Bien sûr que tu peux... Et oui ça m'arrangerait que tu le fasses...

Je soupirais d'extase. Je me demandais bien où allait mener cette relation, mais je reflua cette sombre idée dans un coin de ma tête. J'avais souffert dans ma vie et lui aussi. N'avions-nous pas le droit d'être heureux tout simplement ?

-Bien sûr que tu peux... Et oui ça m'arrangerait que tu le fasses...

Je lui lançais un sourire comblé et eus une idée. J'appliquai le savon sur mon torse et me frottai contre lui, de plus en plus sensuellement. Entourant ses jambes et son dos. Je pris le savon et m'en mis sur les mains pour savonner son corps musclé. Je touchai son torse dont je sentais les muscles se déplacer sous peau.

- Tu es parfait...je voudrai te manger tellement tu m'attires..

jamais je n'avais imaginer à quel point une douche pouvait être aussi sensuelle. Je sentais le savon masser mes muscles. Un savon géant..

- Tu es parfait...je voudrai te manger tellement tu m'attires..

Oh oui moi aussi je mourrais d'envie de le manger. Mais je ne pourrais plus profiter de lui. Alors je me retourna et l'embrassa fougueusement.

-Moi aussi je veux te manger. Mais j'ai eu ma dose pour aujourd'hui. Je reste un homme après tout et j'ai atteint mes limites. Dormiras-tu avec moi cette nuit ?

-Moi aussi je veux te manger. Mais j'ai eu ma dose pour aujourd'hui. Je reste un homme après tout et j'ai atteint mes limites. Dormiras-tu avec moi cette nuit ?

Ses lèvres contre les miennes...ce doux sentiment de chaleur dans mon coeur...j'aimais goûter à ses lèvres, m'en délecter, les mordiller.

- Bien sur que je resterai, je ne t'abandonnerai pas...viens dans mon lit tout à l'heure, je t'y attendrais..

Je sortis de la douche et séchai mon corps et mes cheveux avec une petite serviette avant de retourner dans ma chambre pour jouer de la harpe.

- Bien sur que je resterai, je ne t'abandonnerai pas...viens dans mon lit tout à l'heure, je t'y attendrais..

Je le laissa partir et finis de prendre ma douche. La texture de ma serviette me paraissait fade à côté des caresses de mon amant. J'avais l'impression que le textile m'arrachait des lambeaux de chair. je frissona et me dirigea dans ma chambre. Mes dessins me regardaient avec un oeil espiègle. En les dessinant, j’insufflais une partie de mon âme en eux, créant ainsi des entités indépendantes qui me comprenaient mieux que personnes. J'entendais clairement leurs voix dans ma tête. Et tous se rendaient bien compte de l'amour que je portait à Nash. Je me vêtis d'un simple boxer noir en concordance avec mon dragon pictural. Je suivis la douce mélodie de la harpe jusqu'à la chambre de mon amour. Je m'allongea à côté de lui et préféra murmurer.

-Je vois que les artiste s'attirent, avec un petit sourire.

J'étais absorbé par la musique de ma harpe, le frottement de chacune de ses cordes. Parfois j'en pinçai une pour la relâcher et produire un son plus fort. Mes mains glissaient le long des ses cordes que je parcourrai si souvent. Entendre ce son me détendais et me relaxais, il jouait avec mes sens, les inhalant un coup ou les exacerbant une autre fois. J'étais dans ma bulle, dans mon monde d'harmonie et de bien être. Il n'y a pas de meurtre ici, pas de sang sur mes déjà souillées depuis bien longtemps. Je sentis enfin la présence à côté de moi. C'était Vhan, le si séduisant Vhan vêtu d'un simple boxer noir. Chaque courbe de son corps me semblait parfaite ainsi. Il se coucha à côté de moi. Je jouais plus doucement, moins passionnément que tout à l'heure, mes doigts me réclamant le contact avec sa peau plutôt qu'avec ces cordes grasse ou rêche.

-Je vois que les artiste s'attirent, dit-il avec un petit sourire.

Je lui rendis son sourire en arrêtais de jouer.

- Je n'ai rien d'un artiste...Je suis juste un amateur de musique, c'est tout...C'est la seule chose capable de me faire oublier, mais aussi de me souvenir de ceux que j'aimais...

Je lui souris tristement cette fois et le pris dans mes bras. Sa chaleur aussi me réconfortai. Je le tirai jusqu'à mon grand lit et me glissai dedans.

- Rejoins-moi, je t'attends...

Le temps s'était arrêter quand nous entrâmes dans son lit. Ma première nuit avec Nash. Je me collai contre lui comme si ma vie en dépendait, respirant à plein poumon son odeur exquise. Mais j'étais épuisé. Je passa un bras sur son torse et lui souffla dans le creux de l'oreille:

-On peut parler si tu veux...Je suis trop fatigué pour faire autre chose...

-On peut parler si tu veux...Je suis trop fatigué pour faire autre chose...

Je souris. C'est vrai que je n'y était pas aller de main morte tout à l'heure et moi aussi j'était fatigué. Son souffle me fit trembler. Son odeur, sa chaleur, ses mains posées sur moi...tout était emplis d'une délicatesse exquise qui me faisait l'aimer. car oui, je pouvais le dire maintenant ! J'aime Vhan ! Je passa un dans son dos et posa sa tête sur mon torse avant d'effleurer ses beaux cheveux si doux. Je ne voulais pas quitter ses bras si doux et si tendre. Cette chaleur qu'il me faisait ressentir comme nul autre. Je me pencha et posa un baiser sur ses lèvres et lui fit un tendre sourire.

- Avec joie...De quoi veux-tu parler ?